l’image du vrai Dieu, de la réalité de Sa forme. Comprenant en soi éternité, pouvoir et lois divines, la Vie du corps est le plus proche Univers divin. Dieu, Allah, le Créateur du Monde ou le Maître des Cieux sont des noms propres pour l’impalpable divinité. Prévisible, le comportement suprême représente la manifestation physique, invisible de la perfection.
Le regard divin de nature immatérielle, semblable à n’importe quel regard dans sa manifestation imperceptible, constitue, avec la communication suprême, l’œil personnifié du Créateur qui enregistre et transmet tout. Face à cette vérité, le corps choisit de nier l’existence divine, en faveur de l’acceptation des limites terrestres de son existence. L’option de la négation de la Vie Suprême porte l’illusion d’une telle possibilité, et le corps se soustrait de recevoir la récompense du miracle ultérieur. Les tendances de la matière d’immixtion dans le divin empêchent la fluidité de la communication de l’intellect ressuscité par son inducteur éternel. La difficulté de pénétrer l’espace divin est déterminée par la densité trop grande du ballast de la pensée adolescentine, usuelle de l’homme. Immature, l’intellect usuel créé par la divinité, incompatible à la perfection de l’intellect investi, transmet à l’être des images incohérentes sur l’infinité, la forme et la concentration de la réalité vitale, invisible.
La projection, dans la conscience des créatures, du visage et de la ressemblance de leur propre être à la place de la réalité du Créateur personnifié, empiète sur la connaissance de celui-ci. Incompatible à l’induction divine en tant que récepteur performant de celle-ci, l’intellect usuel induit au corps duquel il provient, des erreurs, et du corps vers la divinité, ses propres