sanctification, l’unité divine terrestre, dont le nom a été communiqué au corps à travers une perception arbitraire, pour pouvoir être identifiée par celui-ci, se détachera des corps montés vers les Cieux en les laissant vivre éternellement du Grand Dieu et suivre Sa Voie. L’accomplissement de cette expérience, attribué au Fils du Créateur, et inhabituel pour la moitié matérielle de la création, rencontre, de la part de celle-ci, l’opposition de l’incroyable. Mais, les travaux de Dieu n’admettent pas le choix du renoncement. Par la suite, le renoncement au plan divin est impossible. Des adaptations spécifiques pour l’éloignement des facteurs opposants, ainsi que pour ceux imprévisibles, sont prévues. Investie dans le corps par transmission génétique, la Vie est arrachée à celui-ci, au moment où la détérioration du corps est devenue incompatible avec sa mission de conduire le Fils du Créateur au Père des Cieux. La Vie Divine ne connaît pas de détérioration existentielle, ni des pertes de Soi ou des accumulations quantitatives. Elle multiplie la matière vivante, dans le but de perfectionner le plan du Créateur de mener à fin Sa grande épreuve. De grandes quantités de matière ressuscitée par Dieu sur la Terre contribuent à réaliser les conditions techniques d’ascension aux Cieux. Montée au Ciel, éternisée et sanctifiée, la matière, ressuscitée par le Père, sera chargée de missions universelles qui font partie des grands projets du Créateur, ressuscitant elle-même la matière capable d’être soumise à ce projet. Le nom de Créateur a été induit à la création comme générique divin, pour suggérer le travail sans fin de Dieu. La fin de l’action physique de la matière ressuscitée, une fois montée aux Cieux et transformée en saints, est une illusion. Les Cieux représentent symboliquement les
