bonté et de sagesse et tous les hommes devront se nourrir d’elle. Je vous donne ce baptême, que le Père M’a demandé de vous donner. Je vous ai appelés hommes et cela veut dire que vous avez reçu de Dieu tout ce qu’il y avait à recevoir. Pour ce don vous resteriez endettés jusqu’à la fin de Son travail. Pour cela vous devriez Me suivre partout et toujours m’obéir. C’est Moi la vie que vous avez dans vos corps et dont vous croyez qu’elle est née dans vos corps. »
La sagesse était la même depuis les débuts de la Vie sur la Terre et elle allait rester la même jusqu’au moment du détachement définitif et de l’ascension de la matière ressuscitée aux Cieux. Il savait qu’il n’y avait pas de plus grand honneur pour la matière, que d’être ressuscitée avec Dieu et Il devait le lui imprimer dans la conscience. C’est pourquoi chaque seuil de son évolution vers la perfection du travail divin était marqué par l’acquisition de nouvelles caractéristiques, de plus en plus proches de celles de la Vie Suprême. Les hommes étaient apparus par l’acquisition de l’âme, qui signifiait que Dieu avait investi dans l’homme, non seulement Sa Vie mais aussi Son mystère. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait récupérer les millions d’années où l’évolution du travail divin avait été lente. Et alors Dieu a dit à Jésus : « Prends les hommes et montre-leur tous les mystères de ce monde, qu’ils les connaissent et qu’ils les comprennent. Ainsi Mon travail sera fini à temps. Confronte-les avec la nature où ils vivent et donne-leur le sentiment du pouvoir. » Jésus a répondu : « Ils ne croiront pas à ce sentiment. » Dieu a continué : « S’ils ne croient pas, sème dans leur âme deux nouvelles racines : L’une de l’amour et l’autre de l’envie ; Et laisse-les seuls ! » Dieu savait qu’il y aurait une vraie