Le dialogue entre Jésus et le Père a produit aussi une résonance dans les corps des animaux maymun, dont le sang était le porteur de divinité. Une intuition non-naturelle anticipait donc le message sanguin qui suivait, de sorte que tous les animaux maymun, répandus sur toute la Terre, attendaient le changement annoncé. Ils ne voyaient pas Jésus. Il était présent dans leur sang et se préparait à leur communiquer que le sentiment de la propre conscience leur a été déjà induit, leur demandant après de l’essayer. Ainsi que, pendant que le corps des animaux maymun frémissait de joie, Jésus leur a dit : « Je vous arrêterai pour un moment de vos préoccupations, parce qu’aujourd’hui, encore une prophétie de la Nouvelle Loi s’est accomplie. Maintenant réjouissez-vous, car Je vous ai donné une partie de Ma conscience, qui vous aidera à séparer le bien du mal et à acquérir votre propre dignité. Après pensez à ce que vous avez été et essayez de comprendre ce que vous êtes et si vous allez constater que vous avez reçu ce que Je vous ai promis, réjouissez-vous ! »
Les animaux maymun ont compris le message transmis par Jésus et ils se sont réjouis, car ils avaient reçu la conscience de leur propre suprématie et de leur propre mission.
Ils allaient comprendre leur but sur laTerre et le pouvoir de séparer le bien du mal, donc la conscience du péché. Qui sous l’influence du corps avait guetté dès le début, le travail de Dieu et l’avait, partiellement, déjà deux fois détruit. Le corps, avec les conséquences de sa résurrection, était le premier ennemi de Sa propre existence, dont il se réjouissait et qu’il voulait en même temps supprimer. C’est pourquoi, lorsque Jésus a vu les animaux maymun se réjouissant, Il a vu des corps se