réjouir et Il leur a dit : « Réjouissez-vous, mais n’écoutez pas la voix du corps ! Celui qui obéira à la voix de son corps, perdra sa Vie. Car le corps est l’esclave de la matière par l’instinct, mais il est redevable à Dieu par la Vie. Vos êtres, qui ont été maintenant sanctifiés avec la conscience divine, ont été choisis à devenir des hommes, qui seront les premiers après vous et les derniers avant les saints. Les saints naîtront d’eux et de vos corps, par Moi. »
Les animaux se sont alors remplis de Dieu, non seulement leur sang, mais aussi leur cerveau, et ils ont commencé à mieux comprendre ce qu’ils devaient faire et ce qu’ils seraient devenus s’ils n’avaient pas accepté les mots divins. Par la suite, le choix du péché ou de l’avenir à côté de Dieu est devenu dès ce jour leur option consciente. Pour cette raison Jésus leur a attiré l’attention : « Aujourd’hui vous avez gagné mais vous avez aussi perdu. Parce que dès aujourd’hui vous aurez toujours devant vous deux vérités ; la Mienne et la vôtre. Ma vérité est que vous restiez avec Moi, et la vôtre que vous restiez avec le corps et beaucoup d’entre vous choisiront ce dernier. » Après Il s’est arrêté, laissant les animaux maymun vivre la joie d’être et de savoir ce qu’ils étaient et la chance de pouvoir choisir entre ce que Jésus leur demandait et ce qu’ils auraient, eux-même, aimé faire.
Ils se trouvaient donc, dès ce moment, face à face avec leur propre péché. Qui commençait par la joie du corps de gérer non seulement sa réalité, mais aussi celle de Dieu. L’horrible geste, de vivre par la divinité contre la divinité, définit le comportement macabre de la mort qui s’est défaite de la matière au moment de la