intégralité, n’est pas possible, parce qu’elle ne tient pas à la compétence de la création, mais à la logique du Suprême Pouvoir Créateur. Des parties de cette philosophie sont induites aux êtres qui contiennent la divinité dans la mesure où la connaissance de ces percepts est inhérente à la cohabitation du corps avec une partie du monde vivant qui l’a créé. Par conséquent, Dieu ennoblit périodiquement les êtres créés par Lui, avec les éléments de connaissance et de sens spécifiques pour l’intervalle évolutif où ceux-ci vivent. Le sentiment de l’amour du Créateur, par Sa propre création, Dieu aurait pu l’induire dans la conscience des animaux maymun, qui se trouvaient dans une foudroyante transformation, dès le début, mais Jésus n’était pas sûr que ce sentiment n’aurait pas été prématurément perdu, dans une espèce qui ne pouvait pas obtenir davantage de soi-même. C’est pourquoi, Il a demandé au Père de Lui laisser cet essai, en disant : « Moi-même et leur propre Vie, nous sommes la même chose. Moi, ils m’aiment par instinct, par peur de la mort, pas en signe d’estime pour la résurrection de leurs corps, dont ils ne savent rien. Dieu laisse-les vivre en craignant et en ayant peur du monde qui les entoure et alors c’est Toi qu’ils chercheront. »
Mais Dieu aimait trop Son travail pour accepter cette proposition. Il savait que l’absolution de la peur mène implicitement à l’absolution de la réplique.
Et la motivation du crime serait argumentée. C’est pourquoi Il a refusé la proposition de Sa partie, qui Lui avait parlé du corps des animaux maymun en disant : « La crainte ou la peur ne sont pas Mes attributs. D’elles ne peut pas naître l’amour divin, mais seulement la panique et la révolte qui mènent au crime. Or, celui