abandonnés tournât en énergie vitale, gardant apparemment immuable le fonctionnement de l’organisme vital. La Vie qui reste dans les corps abandonnés n’est plus Dieu, mais l’effet de Sa présence antérieure reste si puissant que les anciennes créations de matière avec la Vie deviennent, du point de vue biologique, elles-mêmes des espèces. Ces espèces ne peuvent plus évoluer que dans les limites de l’effet produit antérieurement par la divinité avec laquelle elles ont cohabité et qui diminue de génération en génération. Mais elles restent supérieures au règne duquel elles font partie. On ne peut arriver à comprendre Dieu qu’en recherchant l’être humain, la seule création de la Terre où Dieu soit présent. L’être humain destiné à rechercher Dieu est lui aussi possesseur de divinité et de matière, et alors, l’influence de l’effet partitif de chaque component humain (matériel et divin) est impossible à isoler. La recherche de la divinité du corps par des moyens matériels mène à la transformation de la logique de l’analyse dans un système matériel d’évaluation. Le système matérialiste de raisonnement contient le fardeau de l’influence méthodique, non pas psychologique, qui permettrait à la matière de la pensée d’observer correctement l’influence de la structure divine sur tout le système. La raison divine, qui emploie comme support matériel le cerveau, est superposée à la raison matérielle produite par le cerveau. Le mélange par le corps de deux types de raisons dans un seul système de production logique est la cause du retardement de la découverte de Dieu dans le corps. Celui-ci par le support créé par la Vie a inventé, à cause d’une mauvaise induction du message divin, des images fausses sur ce qu’il cache en soi-même. Ainsi, l’homme a occupé la position de
