Vie Suprême face aux formes inférieures d’existence engagées dans une expérience dont la matière du corps fait également partie. En continuant, le message comprend des explications pour tirer au clair la position du corps face à son Créateur, par les précisions suivantes : « Dieu c’est Moi, la Grande Vie qui crée tous les univers d’après Son modèle. Celui qui communique avec Moi, il Me contient, donc c’est Mon Visage. » Dans les conditions ou Dieu se présente comme Vie Suprême parfaitement structurée et omni-existente, le personnage divin, devient une utopie catastrophique des corps créés. La personnalité divine contient tous les éléments, normaux et paranormaux du point de vue logique, pour se constituer Soi-même. Apparemment manquant d’affection, Elle constitue la perfection de l’amour de la vérité éternelle. Inconnue au corps, cette vérité lui est transmise par l’affirmation suivante qui rend Dieu ferme sur la voie de la justice qu’il suggère en disant : « Moi je n’ai pleuré qu’une seule fois pour toi ! » C’est-à-dire, l’idée que la perfection n’acceptera aucun compromis dans son système de valeurs. Le corps a réussi à communiquer avec Dieu à peu près dès le début, parce qu’il le contenait en lui. Le règne animal ne communique pas avec la divinité parce qu’il ne contient pas dans le corps la Vie Divine, qui fasse possible l’induction de son message. Mais les faveurs, accordées au corps par la présence en lui de la Vie Divine, sont payées par l’impossibilité d’option pour l’appartenance à la divinité.
