Pagina 98
 
-Le cinquieme Evangile-

péché sous le règne des pharaons et des empereurs antiques, le recours à un cataclysme naturel était imminent. Pour choisir par la mort, ce qui était mauvais dans l’expérience du Père, de ce qui devait continuer à conduire cette expérience. Avant l’option cataclysmique Dieu a pris la décision d’essayer une nouvelle expérience. L’éloignement du péché de Son travail en rendant conscients les êtres contenant Jésus, pour les amener à la capacité d’une compréhension juste de leur réalité. Par la naissance de Jésus d’une vierge, les hommes devaient comprendre que Dieu peut naître de l’homme, parce qu’Il existe dans l’homme. En corrigeant par son apparition la mauvaise direction de la création, Dieu a évité la mort des millions de corps, indignes à le  contenir, gardant en Vie la matière qui aurait dû mourir sur le chemin déjà assez difficile de ce travail. Mais Il n’aimait pas la mort. Si Dieu avait aimé la mort, Il n’aurait pas créé un contraire au non-être et par la suite, l’homme et les animaux, voire les plantes, n’auraient pas existé. Mais Il aimait la vérité, tout en détestant l’ignoble refus de la matière vivante de recevoir avec dignité ce qu’on lui avait offert gratuitement par la résurrection. Jésus allait se matérialiser en homme, pour que sous les regards des humains Il accomplît des merveilles à Sa mesure et qu’après Il retournât en Soi-même comme Dieu, retour sans alternative, et les hommes en restaient convaincus que ce n’est que Dieu grâce auquel ils étaient vivants. Et que Sa présence sur la Terre est la Vie dans  les corps qui le confondent à un grand mystère. Mystère dans l’empire de l’ignorance humaine, où les hommes créent un monde qui avance dans la direction que le Père lui a destinée, mais avec des chutes évidentes dans les tentations de la folie terrestre. Car démentielle et non pas