qui tue Me bannit Moi de Ma création et ne peut jamais connaître le pardon. Car le pardon est pour celui qui revient du mauvais chemin, non pas pour celui qui ne peut plus en revenir. Ainsi, lorsque Je délierai les craintes et la peur, ce sera signe que J’ai renoncé à ce travail, et cela n’arrivera jamais. Je n’y renonce pas, justement parce que Je ne connais pas la crainte et la peur. »
Jésus s’est résigné. Dieu a accepté tout de même une partie de la proposition du Fils et a délié le doute de la maîtrise de soi des animaux maymun. Il a produit des laps de temps de sécheresse, avec peu de végétation et de la nourriture sèche, pour que Ses animaux fussent obligés de lutter pour la nourriture et de penser au jour où celle-ci pourrait disparaître. Alors, Il s’est rendu compte que, lorsque Sa création ne se sentait pas en sûreté, elle essayait seulement de se poser des questions vagues, auxquelles les réponses ne pouvaient venir que de Dieu. Ainsi qu’Il s’est décidé à faire une expérience et a dit à Jésus : « Prends la nourriture de Mes animaux pour plusieurs jours et fais de sorte qu’ils le sentent. Et Tu verras s’ils te haïssent. Et s’ils t’aiment, ils prieront que Tu leur rendes leur nourriture quotidienne, et la conscience sera accomplie. Mais Moi, Je sais ce qu’ils feront, car ils ne peuvent faire que ce que l’instinct de la matière leur demandera. »
Jésus a fait ce que le Père des Cieux Lui avait demandé et a abattu des chaleurs torrides, sur les forêts où vivaient les animaux maymun, après, Il a envoyé des foudres pour allumer des incendies. Les nuages de fumée et de cendres ont semé des incendies et les animaux harcelés s’y sont résignés. Jusqu’à ce que la faim devînt un phénomène général. Alors, leur sainteté s’est,elle