des apparences. Lorsque l’homme matériel arrive à repousser les apparences, elles sont remplacées par la certitude de l’inconscience des illusions. L’homme apparu aux débuts a imprimé le caractère morbide de l’existence sur l’homme moderne, la seule raison qui vainque les tendances morbides du corps étant la Vie.
Jésus, cherché par l’homme n’importe où ailleurs que dans son propre corps, est une vérité dont on devrait écrire des millions de Bibles. Mais en réalité, au lieu d’analyser la vérité divine de la Vie humaine, les hommes en examinent le support matériel. Ce n’est pas l’analyse du sang qui mène à la découverte de la vie, mais l’induction psychologique du propre message vers la Vie Suprême, issu de la Vie Suprême du corps. Les autres gestes n’ont qu’un caractère purement existentiel et non pas vital. Le caractère vital de l’action humaine signifie la provocation, à la requête du corps, d’une communication supplémentaire entre Jésus et Dieu. Le succès de la provocation de cette relation supplémentaire entre Jésus du corps et Dieu des Cieux, confirme la capacité de l’individu de se détacher des influences matérielles du corps qui ignore Celui qui l’a ressuscité. Sans le vouloir bien sûr, mais constamment, le corps est le fardeau que la Vie a choisi de transformer de matière appartenant au non-être, en matière vivante, et après en saints qui travaillent dans d’autres galaxies, comme Jésus sur la Terre.
La Terre n’est que le lieu de naissance de l’homme en pleine transformation, sous l’influence du travail qu’il fait et qui deviendra dans un futur pas très éloigné l’endroit dont les saints se rappelleront comme celui d’où leurs ancêtres se sont déracinés. Car le mystère de la matière n’est pas totalement percé par