corps. Ce procès, appelé mort subite, n’a pas de spécifique divin. Il a des causes terrestres, et Dieu le perçoit comme une élimination prématurée et le juge comme tel. Dieu peut aussi être ramené dans le corps lors des moments critiques par une transfusion de sang qui Le contienne, mais la compatibilité du corps avec Dieu dépend des influences diaboliques que la pensée matérielle extra-divine, produite par le corps, les lui a induites. L’immunodéficience en est un premier exemple. Elle représente le produit diabolique de la pensée extra-divine, en tant qu’attentat au Créateur Suprême. La création involontaire de la matière, comme réflexe de la résistance à la résurrection et à la sanctification, induit dans le corps, dans la tentative de refuge vers soi, des vices et des virus qui empêchent la réalisation du but divin. Le non-naturel de cette résurrection attire après lui, les répliques négatives de la matière, incommodée par la grande transformation. Mais Dieu a décidé au commencement de faire Son travail et Il ne peut pas être arrêté de ce chemin. Il conduit le comportement vivant du corps sans cataclysmes et en renonçant à l’Apocalypse, sans Jugement dernier. Le diabolique matériel de la création se voit ainsi lésé dans son intention d’empêcher ce travail et essaie d’induire le négatif à travers les voies par lesquelles le corps perpétue la Vie. En sentant l’incapacité du corps de percevoir correctement la divinité à cette phase de Son évolution, Dieu transmet aux corps des messages explicites : « Le mystère vous sépare de Moi ! dit-Il. Car votre existence est une lueur de la matière que j’ai ressuscité pour faire dans les temps Mon travail ».Ce dévoilement, fait par le Créateur du monde par induction divine, attire l’attention sur la patience et la sagesse de la
