Il s’est tourné tout autour, Sa grâce couvrant l’Univers, Il s’est concentré sur le miracle qu’il avait choisi, après Il a prononcé une absolution terrible : « Je défais une partie de Moi-même pour parfaire Mon travail et pour peupler la Terre avec des êtres créés d’elle-même, a-t-il dit : Je baptise cette partie en Mon nom, car en Elle je suis Moi, Je lui dis Mon Fils et je l’appelle Jésus. Et tout ce qui naîtra dès aujourd’hui de Lui, naîtra de Moi, ou par Ma volonté, car Lui, il est comme Moi, la Vie Suprême. » En ce moment, de Dieu s’est défait un Univers Divin, qui est descendu sur la Terre laissant derrière Lui, une structure plus grande que Lui et a dit : « Mon Dieu ! C’est Toi Mon Père, le Créateur du Monde ! C’est la vérité ! »
Sous la pression de ces paroles, les océans ont commencé à se troubler, les vents à souffler très fort, l’air à devenir sec. Parce que Jésus, dans Sa forme spirituelle, avait pris en possession le jardin auquel Il devait donner Sa Vie et qu’il devait sanctifier par Son sang. Après, Il s’est arrêté en scrutant les eaux et le sable sec, les rochers déserts et les volcans qui bouillaient et, impressionné par les merveilles qui l’entouraient, Il a demandé : « Père ! Si Je suis resté seul, jusqu’à quand resterai-Je la vie du nouvel Univers ? »
Des cieux, de tout l’infini, on a entendu la voix du créateur qui l’a consolé : « Jusqu’à la fin de ce travail, « lui a répondu Dieu. »Car ce travail est le commencement de la Nouvelle Vie. Où Moi, Je suis Dieu avec Toi ; nous deux sommes les Créateurs de l’Ancien Monde et du Futur Monde. Et tout ce qui naîtra en ce monde, naîtra par Toi. Toi, tu es l’enfant sanctifié pour baptiser de Mon sang, le peuple qui viendra après Toi. » Après, le silence est tombé. La Terre a arrêté ses